Salsafrica 2

Salsa Ilegal

Depuis 2001, Salsa Illegal s’emploie, à travers sa musique, à créer une fusion, un mélange culturel et social représenté par ces musiciens venus de chemins et de cultures différentes.
Les compositions d’Hugo Motta parlent de la vie du peuple latinoaméricain, du déracinement, de l’intégration en Europe. Salsa Illegal propose aujourd’hui une musique dynamique et résolument urbaine où se croisent cumbias et Vallenatos de Colombie, Salsa Portoricaine, Timba Cubaine, et Reggaeton avec l’arrivée en 2008 de « Joolio » – Julio Jimenez Sanchez dans le groupe.

Dj Salserito

Professeur de salsa et aussi DJ, Alex Salserito officie à la Pachanga dont il est le résident pour ces deux activités. Il travaille aussi dans plusieurs autres bars clubs parisiens. Figure incontournable de la salsa cubaine en France, son nom se retrouve sur l’ensemble des grandes manifestations nationales et internationales. Sa devise est de pouvoir “salsifier” le plus de monde possible.

Nkabom

Adé a découvert le reggaeton à Cuba, où elle était venue étancher sa soif de culture cubaine. Cette danse urbaine et sexy, cousine du Dancehall et du Hip-Hop est désormais ancrée dans la culture latino. Influencée par les différentes danses qu’elle pratique, Adé a développé un style plutôt métissé de reggaeton : on y retrouve l’énergie des danses africaines, les isolations orientales, la sensualité des danses latines…
Elle s’est formée en France notamment chez Freesalsa, à Cuba chez Marisuri et dans les rues du carnaval de Santiago avec les Dale Yuma. Professeur de danses ethniques et de reggaeton pour l’association Descends, danse !, Adé fait également partie de la troupe Nkabom (danses et chants traditionnels
du Ghana).

Boki

Né au congo Boki arrive en France en 1988 il rencontre la salsa en allant dans un petit bar de bordeaux appelé « el chuchumbe ». inspiré par la salsa colombienne c’est en 1993 qu’il commencera à danser. Aujourd’hui acteur majeur de la salsa sur bordeaux c’est aussi le premier qui a ouvert des cours dans la région.
Fondateur de divers festivals tel que le festival international de rueda ou encore le Bordeaux mambo festival il créera en 2000 son association « a’latica ».

Kofi Ansah

D’origine ghanéenne, Lordlove Kofi Ansah, suit comme le veut la coutume, la voie artistique de ses ancêtres et devient Maitre tambour à 16 ans. Il a participé comme percussionniste, danseur, chanteur dans de nombreux ensembles ghanéens : troupe culturelle Adehyemba, Nkabom, Ebibiman, Big ten, Kubekromu et Bisa Awuradze.
En 2001, il a 18 ans et fonde son propre groupe traditionnel : Gomé Traditional Dance Ensemble, aujourd’hui célèbre dans tout l’Ouest. Kofi Ansah vit à Bordeaux où il est percussionniste et danseur, il enseigne dans les écoles et centres de loisirs.